Notes d’allocution de Mme Pascale Tremblay lors de la conférence de presse du 10 janvier 2007
L’allocution prononcée prévaut
En s’impliquant dans la Commission sur
l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire
québécois, c’est avant toute chose parce
qu’on y croit.
Le secteur de l’agriculture et l’agroalimentaire est
vital pour la société. Ça a toujours
occupé une place importante dans l’histoire du
Québec. Le défi auquel nous faisons face est de
s’adapter aux réalités actuelles de la
société.
Depuis la mise en place de la Commission et en fait au cours des 17
dernières années, j’ai eu l’occasion
d’échanger avec des centaines d’agriculteurs et
d’entrepreneurs de l’agroalimentaire. Il est
évident que la période que l’on vit
actuellement en est une de grande inquiétude et de
questionnement pour les agriculteurs. Le message qu’on
reçoit est que les personnes du secteur seront au rendez
vous pour trouver des pistes de solution.
Pour développer des perspectives d’avenir
intéressantes qui donnent le goût
d’entreprendre, il faut aussi que nous soyons à
l’écoute des attentes de la société. Il
faut que le débat s’étende à
l’ensemble de la population. La participation la plus
généreuse possible, dans tous les sens du terme, est
déterminante. Ceux qui ont des attentes en regard de
l’environnement, de la santé, de la qualité et
la disponibilité des aliments sont attendus à la
Commission. Le milieu agricole a besoin de les entendre et de
savoir qu’ils sont avec eux dans cette réflexion.
C’est par la communication qu’on réussira
à rapprocher les milieux agricole et urbain.